Parallèlement ces premières approches scientifiques démontrèrent, à la surprise des chercheurs, une absence de toxicité majeure.
En effet, le CBD s'est très rapidement avéré particulièrement sain, n'ayant pas entre autre les effets psychotropes de son cousin le tétrahydrocannabinol alias le THC.
Dès lors, l'intérêt pour la gentille molécule du chanvre n'alla que croissant.
C'est à ce train de sénateur que dans les année '70 on assista aux premières découvertes majeures pouvant avoir de potentielles répercussions thérapeutiques pour déboucher sur la mise au point de médicaments.
Ainsi, une étude brésilienne datant de 1973 met en avant les propriétés anti-épîieptique du cannabidiol sur le modèle animal.